«Réparer, réparer, réparer,...nous devons réparer pour rétablir l'Humanité»
Kouadio I. Kouamé
«Réparer, réparer, réparer,...nous devons réparer pour rétablir l'Humanité»
Kouadio I. Kouamé
c'est quoi ?
La Justice Réparatrice , c'est la Justice naturelle, fondée sur les Lois pertinentes qui régissent la vie et le vivant, comprises, acceptées et codifiées sous la forme du droit coutumier. C'est bien plus qu’un concept juridique; c’est une philosophie, un monde, un Univers organisé, établi en vérité, en tension équilibrée, pour la Vie, sa protection et son expansion continue.
Profondément ancrée dans les traditions ancestrales africaines, la Justice réparatrice est fondée sur la philosophie de l'Ubuntu (“Je suis parce que nous sommes”), qui vise à rétablir l'équilibre, l'équité, la paix et l'harmonie après qu'un incident, un accident, un conflit ou un crime soit intervenu pour troubler l'ordre social établi, réputé juste, compris et communément accepté par tous.
En effet, dans la tradition africaine ancestrale, la Justice repose sur trois piliers essentiels :
La justice réparatrice ne vise pas à punir de façon exclusive ; elle vise plus à rétablir l’Harmonie au sein de la collectivité.
La justice réparatrice est une démarche structurée qui vise à sanctionner les crimes commis tout en mettant en place des mécanismes concrets pour rétablir l’équité et restaurer la dignité des victimes.
c'est la réparation !
Dans l'Afrique pré-coloniale, il n'y avait ni prisons, ni condamnation à mort...et pourtant la paix, la joie et la culture de la vertu étaient les valeurs les plus communes entre les humains.
Ni prisons, ni condamnations à mort, mais réparations. Par le bourreaux, par l'effort de la communauté nationale, et pour la victime,...et pour le bourreau. Tel est le sens de la tradition ancestrale Ubuntu : "Je suis parce que nous sommes, et parce que nous sommes, je suis." Tel est le sens des rites dans la tradition africaine.
Dans l'Afrique pré-coloniale, il n'y avait ni prisons, ni condamnation à mort...et pourtant la paix, la joie et la culture de la vertu étaient les valeurs les plus communes entre les humains. Faire quelques citations d'ouvrage historique faisant état de l'administration de cette justice ainsi que l'âge d'or de l'humanité atteinte par l'Afrique ancestrale.
C'est une forme de Justice naturelle qui Comme on le conçoit fondamentalement dans la tradition africaine : "S'il faut un Homme et une femme pour engendrer un Humain, il faut en revanche, tout un village pour forger un Humain bon et vertueux".
Le Pardon est une valeur sociale nécessaire, mais pas suffisante pour construire et maintenir l'Harmonie sociale : il faut le dialogue, l'équité, la repentance, une juste sentence, la réparation,... un soutien aux victimes, un accompagnement des fauteurs pour prévenir la récidive. Tel est l'enjeu et la complétude de l'Algèbre du Pardon®.
Elle vise à rétablir l’équilibre rompu par un crime ou un préjudice, sans recourir à des peines carcérales ou à la déchéance humaine. Inspirée par le principe Ubuntu, elle met en lumière l’interdépendance des êtres humains et leur capacité collective à guérir les blessures du passé.
L’une des grandes originalités de l’Algèbre du Pardon réside dans son approche innovante de la justice, qui combine justice réparatrice et justice auto-réparatrice pour guérir les blessures du passé et prévenir les conflits futurs.
Reconnaître ses fautes et ses erreurs, voilà ce qui permet de réparer. De rétablir l'équilibre de l'univers, et l'équilibre de la conscience humaine.
Tel est le sens que les ancêtres africains donnaient à la justice.
Tel est le sens des rites dans la tradition africaine.
Reconnaissons nos fautes et nos victimes, en toute humilité,
Rétablissons la vérité des faits,
Réparons nos victimes, toutes nos victimes.
, c'est la réparation et l'auto-réparation. !
En définitive, l'enjeu véritable et profond de l'Algèbre Du Pardon®, c'est de restaurer l'Humanité, c'est à dire aussi bien celle de la de la victime et que celle du fauteur repentant.
Dans le processus de l'Algèbre du Pardon®, l'administration de la justice Réparatrice & auto-Réparatrice se fonde sur l'équation suivante :
La première partie de cette équation(soit le 1+1 = 3) symbolise le principe même du vivant : il faut en effet une union fertile pour produire la vie. Autrement dit, il faut une union fertile entre 1 Homme + 1 Femme pour engendrer 1 progéniture, et produire une famille de 3 membres. Et dans la nature les exemples sont partout, c'est la base même de la vie. En science, ce principe est aussi appelé la synergie ou l'émergence de la complexité : c'est à dire que la somme des propriétés d'une molécule est supérieure à la somme des propriétés de ses composants.
En chimie par exemple, l'association entre l'hydrogène et l'oxygène donne une molécule d'eau(H2O) dont les propriétés sont supérieures à celles de ses composants élémentaires. En management, l'efficacité du collectif est supérieure à la somme des performances individuelles.
C'est l'enjeu même qui est au cœur du Management Ubuntu®, que je développe dans le cadre de mes travaux de recherche scientifique.
Et la seconde partie de l'équation de l'Algèbre du Pardon(2+2=4) symbolise le principe de l'équité entre les parties, dans l'administration de la Justice Réparatrice. Ce principe d'équité entre les parties est immuable et infère que la charge de la compensation est toujours proportionnelle à la charge du préjudice subi. C'est la condition favorable, voire sine qua none à l'obtention du Pardon rédempteur.
Le Pardon est une valeur sociale nécessaire, mais pas suffisante pour construire et maintenir l'Harmonie sociale : il faut le dialogue, l'équité, la repentance, une juste sentence, la réparation,... un soutien aux victimes, un accompagnement des fauteurs.
On ne peut pas tout réparer, ni tout pardonner, mais l'on doit avoir la volonté de payer le prix et les efforts nécessaires à la réparation pour obtenir le pardon rédempteur de la part de sa victime et de la collectivité.
En définitive, l'enjeu véritable et profond de l'Algèbre Du Pardon®, c'est de restaurer l'Humanité, c'est à dire aussi bien celle de la de la victime et que celle du fauteur repentant.
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“ On ne peut pas tout réparer, ni tout pardonner, mais l'on doit avoir la volonté de payer le prix et les efforts nécessaires à la réparation pour obtenir le pardon rédempteur de la part de sa victime et de la collectivité.”
mises en pratique
L'Algèbre du Pardon®, ce n'est pas qu'une théorie idéalisée de la vie en collectivité humaine. C'est un mode opératoire pour construire des relations humaines solides et enrichissantes, et une vie plus épanouissante.
A travers deux cas pratiques, découvrir comment l'Algèbre du Pardon peut ré-évolutionner vos relations avec vos proches et apaiser durablement la vie des peuples et les relations internationales.
par l'exemple, comment l'Algèbre du Pardon a permis de ré-évolutionner la vie de son fondateur. A l'échelle collective également, l'Algèbre du Pardon se déploie concrètement sur le terrain politique en Côte d'Ivoire à travers la campagne nationale #ALG225CIV2025.
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Un enjeu de leadership
Autorité - pouvoir - Justice
La première victime dans l'acte de commission d'un crime est d'abord sa propre conscience.
Un bon leader est avant tout un Humain, soumis aux lois de la matière et du vivant, et qui cherche certes, à les transcender en cultivant sa vertu dans une optique de création de valeur ajoutée sociale.
Car "Le Pardon est une valeur sociale nécessaire, mais pas suffisante pour construire et maintenir l'Harmonie sociale : il faut le dialogue, l'équité, la repentance, une juste sentence, la réparation,... un soutien aux victimes, un accompagnement des fauteurs. "
On ne peut pas tout réparer, ni tout pardonner, mais l'on doit avoir la volonté de payer le prix et les efforts nécessaires à la réparation pour obtenir le pardon rédempteur de la part de sa victime et de la collectivité.
Le processus ne s’arrête pas au pardon. Il s’agit de transformer une expérience douloureuse en une source d’inspiration pour soi-même et pour les autres.
En définitive, l'enjeu véritable et profond de l'Algèbre Du Pardon®, c'est de restaurer l'Humanité, c'est à dire aussi bien celle de la de la victime et que celle du fauteur repentant.
[Vidéo en date du 24 février 2023]
Titre
Contenu incomplet : La présence d'un emplacement pour "citation majeure ici !" indique que la page est encore en développement.
Manque de développement des cas pratiques : Les cas pratiques sont mentionnés mais pas suffisamment développés pour servir d'exemples concrets.
Structure conceptuelle peu claire : La relation entre les réparations et les trois phases de l'Algèbre du Pardon n'est pas explicitement établie.
Absence de méthodologie détaillée : La page ne présente pas de méthodologie claire pour mettre en œuvre les réparations dans différents contextes.
Manque de distinction entre réparation et auto-réparation : Bien que mentionnée dans le titre, la distinction entre ces deux concepts n'est pas clairement développée.
Navigation limitée : Peu de liens vers des ressources complémentaires ou des pages connexes qui pourraient approfondir la compréhension du sujet.
Absence de témoignages : Manque de témoignages de personnes ayant bénéficié du processus de réparation.
La page "Réparations" s'aligne avec le concept fondamental de l'Algèbre du Pardon en mettant l'accent sur la réparation comme élément essentiel du processus. Elle fait référence à l'équation du vivant et à la notion de rétablissement de l'équilibre et de l'harmonie, ce qui correspond bien à la philosophie globale.
Cependant, elle ne développe pas suffisamment le lien entre la réparation et les trois phases essentielles du dispositif, notamment comment la réparation s'inscrit dans la phase de "Justice réparatrice" et comment elle conduit au "Pardon rédempteur". La page pourrait mieux articuler comment la réparation constitue le pont nécessaire entre la vérité et le pardon.